Le 20 mai 325 s’ouvre à Nicée le premier Concile œcuménique (universel) de l’histoire de l’Eglise – les précédents conciles étaient locaux ou régionaux. Il est convoqué par l’empereur Constantin, dans la 20^ème année de son règne, année jubilaire. Il rassemble des évêques de l’ensemble de l’univers chrétien à un moment de divergences : qui est vraiment Jésus, le Christ ?

Des personnalités diverses et bien « trempées », dont notre grand saint Nicolas et saint Athanase, convaincues chacune du bien-fondé de leur position, s’y rencontrent. Les conclusions du Concile s’en ressentent ainsi que sa réception !

Il y est fondamentalement question d’unité et de paix : unité dans l’expression de l’affirmation de la foi mais aussi dans le choix de la date de Pâques, pour ne retenir que deux décisions qui ont le plus marqué la suite de l’histoire.

1700 ans après, nous nous interrogeons toujours sur le sens des affirmations énoncées à Nicée, complétées à Constantinople (381) : les théologiens certes (n’est-ce pas leur rôle ?) mais aussi l’ensemble des catholiques qui viennent de recevoir une nouvelle traduction de ce « symbole », avec l’apparition du mot consubstantiel.

Le 20 mai 2025, Rome célèbrera cet anniversaire : nous y « enverrons » Bernard Pottier.

–/

En effet, Bernard Pottier sj, membre de la Commission Théologique Internationale (CTI), nous en parlera le mardi 13 mai à 20 heures avant de partir à Rome pour cette commémoration.

La CTI a en effet produit un texte à cette occasion, à l’élaboration duquel Bernard Pottier a participé. Nul doute qu’il y fera référence.

–

–

Inscription recommandée :